
“Colectores botanistas, una misión religiosa” Louise Coueffe presenta su trabajo en México

The Conversation a publié l’arcicle de Nathalie Richard et Irina Podgorny sur le tatou des réserves du muséum d’histoire naturelle du Mans (musée Vert). Il porte une étiquette ancienne et figure parmi les objets les plus anciennement présents dans les collections du Mans. Il ne s’agit pas d’un pangolin, dont nous avons tous entendu parler dernièrement, mais d’un autre mammifère singulier, le tatou, qui a connu son heure de gloire dans le passé. Il a encore fait la une, il y a peu, comme mascotte du Mondial de football 2014 au Brésil.
Cet animal américain, bien différent de la faune connue en Europe, a suscité la curiosité des Occidentaux dès sa découverte à l’époque moderne et a figuré dans la plupart des cabinets de curiosité. Des travaux nombreux existent sur sa place dans les collections, sur les manières dont les savants occidentaux l’ont interprété, sur ses représentations comme emblème des Amériques, de même que sur son utilisation pour fabriquer des remèdes dans la médecine de la Renaissance (par exemple Egmond et Masson 1994 ; López Piñero 1991.
Ce spécimen de musée raconte plusieurs histoires de voyages et de sciences et permet de présenter des recherches réalisées dans le cadre du projet européen SciCoMove. Scientific Collections on the Move.
The Second workshop of the SciCoMove project dedicated to skull collections took place in Turin on 11-12 April 2022.
It was inaugurated by a keynote paper by Christian Greco, Director of the Egyptian Museum in Turin, who presented the Exhibition on the “mummy room” of the Egyptian Museum and the launch of the Fernando Bedoya’s exhibition “The art of trepanning”.
The workshop’s programme also included the following presentations:
Les 30 et 31 mars 2022, Nathalie Richard (UM), Miruna Achim (UAM) et Laura Chazaro (CINVESTAV) ont participé aux Rencontres scientifiques franco-mexicaines et promotion du doctorat organisées par Ambassade de France au Mexique.
Depuis de nombreuses années la collaboration scientifique entre la France et le Mexique se caractérise par un nombre important de co-publications (1000 chaque année en particulier en sciences physiques, électrique, automatique et ingénierie aéronautique et aérospatiale), de multiples échanges de scientifiques, des programmes bilatéraux structurants qui appuient la formation et la mobilité des doctorants (bourses CONACYT-Gouvernement français, ECOSNORD) et la présence au Mexique de 3 institutions scientifiques françaises : le Centre d’Etudes Mexicaines et Centroaméricaines (CEMCA), l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) et le Centre International de Développement Agricole (CIRAD).
De même, il existe une collaboration étroite grâce à l’existence de laboratoires communs de recherche entre les principales institutions françaises (CNRS, INSERM, IRD, INRA, Institut Pasteur) et mexicaines (UNAM, CINVESTAV, UdG, CONACYT), ainsi qu’un réseau de chercheurs franco-mexicain porté par la Maison Universitaire Franco-Mexicaine (MUFRAMEX).
Chaque année une centaine de mexicains partent étudier leur doctorat en France et les 611 étudiants qui ont rejoint la France en 2021 pour un master complet en France (508) ou dans le cadre d’un double-diplôme (103) constituent sans doute une réserve intéressante de candidats au doctorat.
Il existe également des possibilités d’échanges franco-mexicains dans le cadre du projet SciCoMove. Nous organisons des ateliers, des sessions de formation et des voyages de recherche entre des institutions de recherche françaises et mexicaines, tant pour les chercheurs expérimentés que pour les doctorants.
Pour plus d’informations, envoyez-nous un courriel à l’adresse suivante : scicomove@univ-lemans.fr